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L’Observatoire pour l’Archéologie et le Patrimoine en Haute-Bigorre L’Observatoire pour l’Archéologie et le Patrimoine en Haute-Bigorre
L’Observatoire pour l’Archéologie et le Patrimoine en Haute-Bigorre (OAPHB) a pour objet d’actualiser les connaissances relatives à l’économie des paysages du Haut-Adour, cherchant ainsi à contribuer o accompagner de nouveaux développements en : Accueillant des chercheurs et des concepteurs ; Programmant des colloques et des ateliers réunissant sur site habitants, élus et chercheurs Accompagnant des étudiants en Licence / Master / Doctorat Coopérant avec d’autres associations. Créé en 2018 en tant qu’association Loi de 1901, l’OAPHB a initié sa démarche en 2014 à partir de la prospection archéologique d’un collecteur antique souterrain au quartier thermal de Bagnères de Bigorre. Depuis, à l’échelle du Haut-Adour, ses travaux ont été étendus à l’étude de la conduite des eaux naturelles. Démarche qui a permis de réaliser en quoi pastoralisme et thermalisme s’étaient ici conjugués à partir d’enchaînements hydrauliques structurant l’ensemble des paysages de la vallée. Chaque année, les travaux menés font l’objet d’un rapport d’activité introduisant le programme de l’année suivante. Ces activités sont principalement financées le Commissariat de massif des Pyrénées (ANCT), le Service culturel de la Région Occitanie, le Département des Hautes-Pyrénées, les communes de Bagnères-de-Bigorre et de Campan. Ces travaux sont menés en relation avec plusieurs associations locales parties prenantes de l’entretien des paysages valléens. Ils bénéficient depuis 2020 d’un partenariat avec l’UMR 7041 ArScAn et PROJETS TIME MACHINE Sous l’intitulé La Manufacture de l’Eau, son nouveau programme 2024-2026 portent sur les savoir-faire qui mobilisent gravitairement les eaux de sources et de ruissellements pour l’entretien de grands paysages agraires et domaniaux. Que ce soit dans les Hautes-Pyrénées, les estives de Campan ou le grand parc thermal de Bagnères-de-Bigorre, qu’en région parisienne, le Domaine de Vaux-le-Vicomte ou bien celui de la Bergerie nationale de Rambouillet. Pour les habitants du Haut-Adour, l’eau est un bien commun d’autant plus crucial que leur pays comme la pratique qu’ils en ont les mettent en situation d’éprouver directement sur le terrain les changements environnementaux à l’oeuvre. Dans ce pays de montagnes, les interrelations entre aléas naturels et successives occupations de l’espace n’ont jamais cessé d’être observées et remédiées par un monde paysan rejoint dès la fin du XVIe siècle par des hommes de sciences et d’exploration. Savoirs vernaculaires et savoirs scientifiques se conjuguant, la vallée se trouve ainsi plus particulièrement à l’écoute des questionnements et des méthodes participatives propres à la géohistoire.
SEMETHERM SEMETHERM
L’établissement des Grands Thermes est un établissement thermal situé à Bagnères-de-Bigorre, dans le département des Hautes-Pyrénées en région Occitanie. L’établissement occupe un important bâtiment classique, caractéristique de l’architecture du XIXe siècle. Madame la Dauphine, Marie-Thérèse-Charlotte, fille de Louis XVI, pose la première pierre des Thermes Marie Thérèse, ancêtre de l’établissement thermal actuel, en 1823. Le bâtiment est inauguré en 1828. Aujourd’hui géré par la SEMETHERM, l’établissement accueille plus de 8500 curistes qui chaque année profitent des qualités thérapeutiques des eaux thermales, pour des cures en rhumatologie, affections psychosomatiques et voies respiratoires, avec possibilité d’effectuer une double orientation. L’eau thermale, particulièrement abondante à Bagnères-de-Bigorre, provient de plusieurs sources naturelles et souterraines. Captée à près de 200 mètres de profondeur au niveau des couches de sol abritées des pollutions de surface par 2 forages (Reine et Régina), cette ressource thermale, véritable « don de la terre » est naturellement chaude (50 °C). Son origine résulte du lent cheminement des eaux de pluie qui, après avoir traversé la roche, circulent progressivement sous terre allant jusqu’à 1000 mètres de profondeur. Durant son très long parcours souterrain (plusieurs dizaines d’années), l’eau s’enrichit et dissout les sels minéraux des sous-sols qu’elle traverse, devenant ainsi sulfatée, calcique et magnésienne
Consortium Huma-Num Projet Time Machine Consortium Huma-Num Projet Time Machine
Les actions du Consortium PTM s’articulent autour de la notion de référentiel géohistorique, conçu comme un concept heuristique permettant à des programmes de recherche ou des équipes de développer, dans les principes FAIR et de l’Open data, des pratiques innovantes et partageables en matière d’analyse objets géohistoriques. Paris a été - comme annoncé dès l’origine du projet - un espace d’expérimentation, sorte d’archétype, sur lequel PTM a développé ses premiers travaux. Ils ont pris la forme d’une série de « chantiers types » permettant d’explorer de manière pragmatique les différentes expressions de la notion de référentiel géohistorique, le but de moyen terme étant d’aboutir à une série de guides méthodologiques sur la constitution et l’utilisation de ces référentiels. Les questions de la production puis de la valorisation des données et des référentiels géohistoriques sont généralement assez bien traitées par les équipes de recherche, contrairement aux questions liées au dépôt et à la pérennisation des données qui sont généralement laissées de côté souvent faute de temps, de moyens ou encore d’outils clairement identifiés. Or, elles deviennent stratégiques dans le contexte des humanités numériques, car au-delà du débat sur l’interdisciplinarité dont la nécessité et l’intérêt scientifique font globalement consensus, les questions de l’ouverture et de l’accès aux données qu’on qualifie parfois de “données brutes” font l’objet de nouveaux dispositif législatifs qui pour certains seront contraignants. Parmi ceux-ci, la loi sur la république numérique promulguée le 7 octobre 2016 fixe les règles de la nécessaire ouverture des données produites par les administrations publiques dont les universités et les institutions de recherche relèvent. Elle met en place un principe d’ouverture par défaut des données des administrations publiques (Décret n° 2016-1922 du 28/12/2016), principe impliquant l’utilisation des licences ouvertes et le respect de principes correspondant pour l’échelle européenne aux principes résumés par le sigle “FAIR” (Findable, Accessible, Interopérable, et Reusable).
Le groupe de travail Systèmes de peuplement dans le temps long du LabEx DynamiTE (GT SPTL) Le groupe de travail Systèmes de peuplement dans le temps long du LabEx DynamiTE (GT SPTL)
Ce Groupe de Travail (GT) s’empare de deux questions. La première porte sur la comparaison d’objets spatio-temporels complexes dans le temps long et dans l’espace. Ces objets sont, par exemple, des villes, des réseaux d’échanges, des frontières ou des régions, leurs définitions diffèrent fortement selon les périodes historiques, les disciplines, les aires culturelles, le grain d’observation etc. L’ambition du GT est de partir du travail sur l’ancrage historique et disciplinaire des concepts pour aller vers une confrontation de nos pratiques de recherche. La deuxième question porte sur l’articulation des concepts avec les bases de données spatio-temporelles existantes, qui sont mobilisées pour analyser les transformations de l’espace géographique sur le temps long. Il existe aujourd’hui de nombreuses bases de données spatiales tant en géographie qu’en archéologie et histoire. Ce GT propose d’inventorier ces bases de données sous la forme d’un observatoire et de réfléchir dans quelle mesure le LabEx pourrait contribuer à la mise en ligne et/ou à l’amélioration de la visibilité de celles identifiées comme ayant un fort potentiel interdisciplinaire. Pour résumer, la vocation du GT sera donc de mettre en pratique les concepts utilisés pour l’étude des systèmes de peuplement sur le temps long à partir des données empiriques, et de renforcer le lien entre géographes et producteurs de données historiques spatialisées à travers la réflexivité et le partage de données spatio-temporelles.
MSH Mondes MSH Mondes
La Maison des Sciences de l’Homme Mondes est une unité d’appui et de recherche (UAR 3225) ayant pour tutelles le CNRS, l’université Paris Nanterre et l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Elle s’intéresse aux mondes anciens, présents et futurs, ainsi qu’aux mondes proches et lointains. Orientée vers l’international, elle favorise l’interdisciplinarité, l’expérimentation et l’innovation en sciences humaines et sociales, le décentrement des savoirs, l’ouverture aux arts et autres sciences. La MSH Mondes organise sa vie scientifique dans une logique de mise en réseau et de collaboration, via des ateliers et projets collectifs, autour de deux axes « Mémoires et patrimoines des sociétés et des milieux » et « Transformations épismologiques des sciences humaines et sociales au prisme des mutations contemporaines ». Grâce à son expertise métier, son ingénierie spécialisée et ses équipements, la MSH Mondes vient en appui à la recherche sous de multiples aspects. Les unités de recherche des universités Paris Nanterre et Paris 1 Panthéon-Sorbonne peuvent solliciter ses pôles et services.
Le laboratoire LIENSs (Littoral Environnement et Sociétés) UMR 7266 La Rochelle Université / CNRS Le laboratoire LIENSs (Littoral Environnement et Sociétés) UMR 7266 La Rochelle Université / CNRS
Le laboratoire LIENSs est une unité mixte de recherche interdisciplinaire (UMRi 7266 La Rochelle Université – CNRS). Ce laboratoire met l’interdisciplinarité au service des enjeux du développement durable en lien avec le littoral. Il intègre les compétences de nombreuses disciplines qui vont des sciences de l’environnement aux sciences humaines en passant par la chimie et les biotechnologies. Ses recherches se focalisent tout particulièrement sur le fonctionnement du système littoral, son évolution dans un contexte de changement global et d’urbanisation croissante des côtes, son usage et son exploitation durable.
Le laboratoire DYPAC Le laboratoire DYPAC
Dypac résumé à venir
UMR 7041 Archéologies et Sciences de l'Antiquité (ArScAn) UMR 7041 Archéologies et Sciences de l'Antiquité (ArScAn)
Dans l’UMR 7041 Archéologies et Sciences de l’Antiquité (ArScAn), les recherches sont réalisées dans le cadre des programmes développés par chacune des équipes internes, mais également selon plusieurs projets collectifs communs à tous, ou encore dans un programme partagé entre des chercheurs de sept équipes travaillant sur l’archéologie du Bassin parisien. Par ces programmes des équipes et des projets collectifs, nous intervenons sur les 5 continents, de la Préhistoire au début de l’époque moderne, sur la base de travaux de terrain, de l’étude de textes et d’images. Rattachées prioritairement à l’InSHS, et secondairement à l’InEE, nos recherches se développent en archéologie et histoire de l’art, histoire et épigraphie, philologie et littérature. Les recherches archéologiques incluent la géo-archéologie, le paléo-environnement, l’anthropologie funéraire.
UMR 8504 Geographie-cités UMR 8504 Geographie-cités
Géographie-cités est un laboratoire interdisciplinaire au carrefour de la géographie humaine et des études urbaines. Il réunit quatre-vingt enseignants-chercheurs, chercheurs, ingénieurs, techniciens et autant de doctorants, autour de recherches qui combinent réflexions théoriques et épistémologiques, méthodes quantitatives et qualitatives, travaux empiriques et démarche comparative. Il est impliqué dans de nombreux programmes avec des terrains et des partenariats scientifiques, tant en France qu’à l’international, en Europe, en Asie et en Amérique. Il compte quatre cotutelles : le CNRS, l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne , l’Université Paris Cité et l’École des Hautes Études en Sciences Sociales.
L'École d'économie de Toulouse L'École d'économie de Toulouse
L'École d'économie de Toulouse (ou Toulouse School of Economics en anglais, abrégée en TSE) est un grand établissement spécialisé en sciences économiques et composante de l'université Toulouse-Capitole.
Le Centre de Recherches Interdisciplinaires en Histoire, Histoire de l’Art et Musicologie Le Centre de Recherches Interdisciplinaires en Histoire, Histoire de l’Art et Musicologie
Le Centre de Recherches Interdisciplinaires en Histoire, Histoire de l’Art et Musicologie (CRIHAM UR 15 507) est une unité de recherche commune aux universités de Poitiers et de Limoges. Le laboratoire réunit des chercheurs en histoire, histoire de l’art et musicologie. Il met en œuvre des recherches pluridisciplinaires en sciences humaines et arts dans un cadre chronologique étendu, de l’Antiquité à l’époque contemporaine, et dans un espace large, en Europe et outre Atlantique.
le Club Alpin de Bagnères de Bigorre le Club Alpin de Bagnères de Bigorre
Créé en 1899, le Club Alpin de Bagnères de Bigorre fait aujourd’hui partie de la Fédération Française des Clubs Alpins et de Montagne (FFCAM) et compte environ 360 membres. Le club est géré par des bénévoles passionnés et a pour principales ressources les cotisations annuelles de ses membres. Sa vocation est de faire découvrir la montagne sous toutes ses formes à ses membres, à l’occasion de sorties encadrées mais avant tout placées sous le signe de la convivialité.
Les Sentiers de Campan Les Sentiers de Campan
L’association des sentiers de Campan regroupe des passionnés de nature qui interviennent sur les sentiers de la commune. Que cela soit pour la réfection, l’aménagement, l’entretien, le balisage, (y compris la pose de signalétique), ils parcourent les sentiers de la vallée de Campan. L’association œuvre également pour la mise en valeur du paysage, du patrimoine et des petits ouvrages d’art liés aux sentiers et à leur utilisation : murets de soutènements, leytés, passerelles, aqueducs, rigoles, sources, abreuvoirs ... Son activité est axée autour de la pratique et le développement de la randonnée pédestre pour la découverte et la sauvegarde de l’environnement, le tourisme et les loisirs ainsi que la mise en œuvre d’actions pédagogiques et informatives.
Pierre des Esclozes Pierre des Esclozes
L’Association a été créée en 2012 en vue de la restauration à l’identique d’un ancien courtaou abandonné et de sa rigole d’amenée d’eau. La mise en œuvre de ce projet et sa réalisation a été conduite avec le concours de la Municipalité de Campan, propriétaire du site. Le courtaou des Esclozes est aujourd’hui devenu un lieu de visites et de rencontres. Dans ce cadre, les échanges avec d’autres Associations seront toujours bienvenus. Il est également possible d'organiser des collaborations sur des actions ponctuelles entreprises d’un commun accord. Si les missions de l'Association sont actuellement orintées vers l’entretien du courtaou et de sa rigole, Pierre des Esclozes agit pour le recueil et le partage d’informations sur l’histoire ancienne et moderne de l’agro-pastoralisme en vallée de Campan.
LES RIGOLES DE GAYE LES RIGOLES DE GAYE
Chaque année, l’association des Rigoles de Gaye œuvre à l’entretien des Rigoles de Gaye et du Sarradau, sur le territoire de la commune de Campan. Une journée de nettoyage automnal est organisée avec les bénévoles tous les premiers samedis de novembre. En équipe, ils se débarrassant des feuilles mortes et autres détritus empêchant l'écoulement de l'eau de ces cours qui sont encore la seule source d'alimentation de certaines granges du hameau. Une fois le travail terminé, les participants se retrouvent autour d’un repas très convivial.
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